De moi on se moquer
On me frapper
Mon cœur ne cesse d'être tourmenter
Mais il continue de se relever
Je le sais je suis qu'une marionnette
Mais mon cœur jamais il ne pleure
Ces sont mes nerf qui lâchaient
Et de mes yeux, des larme coulait
Mon cœur sait comment rallumer
Mon corps et mon âme abandonné
Il suffit de me donner l'envie
D'aimé et ainsi allumé la flamme de la vie
Il suffira que tu dis une phrase
Et répond franchement a la demande
A l'homme en face de toi qui demande
Si tes sentiments sont mutuelles
Nicolas Franquin
Vendredi 21 août 2009